Pourquoi vous devriez utiliser un logiciel espion gratuit pour téléphone
Le CIGREF – Réseau de Grandes Entreprises – acteur reconnu depuis 45 ans pour ses travaux sur le rôle de l’informatique et des Systèmes d’Information (SI) dans les entreprises, a relevé un défi en créant sa Fondation de Recherche (sous égide de la Fondation Sophia Antipolis). La Fondation CIGREF a étudié l’usage des Systèmes d’Information pour « mieux comprendre comment le monde numérique transforme notre vie et nos entreprises » dans le cadre d’un Programme International de Recherche, baptisé ISD « Information Systems Dynamics ».
Après avoir mené, pendant 3 ans, 32 projets de recherche, conduits par une cinquantaine de laboratoires aux Etats-Unis, en Europe et en Asie, ce programme est maintenant terminé.
Une démarche qui a porté ses fruits pour l’Entreprise 2020
L’enjeu était de comprendre les transformations émergentes afin d’accroître la valeur et la compétitivité de nos entreprises, leur potentiel d’innovation, et plus largement contribuer ainsi au développement économique, social et humain de notre société.
Le CIGREF exploite maintenant les résultats de ces travaux pour l’Entreprise 2020, à retrouver sur le site dédié « entreprise2020.fr ».
Fondation CIGREF : Logiciel espion pour téléphone free
Le logiciel espion pour téléphone gratuit est une solution idéale pour les parents qui veulent garder un œil sur les activités de leurs enfants à distance. Il permet également aux employeurs de surveiller l’utilisation du téléphone professionnel par les employés afin de limiter les risques de fuite d’information. Espionner un téléphone sans installation est également très utile pour découvrir l’identité des personnes malveillantes utilisant le téléphone portable à votre insu.
Appels à projetsL’intégrale des Essentiels de la Vague A
Le programme de recherche ISD s’attache à financer des projets de recherche étudiant la dynamique des usages des systèmes d’information au travers de différentes dimensions : stratégique, organisationnelle, sociétale et éthique, règlementaire et technologique.
Informations sur le Programme ISD
Télécharger l’Agenda de Recherche
Consulter les premiers résultats de la « Vague A » :rapport de mise en perspective « L’Accéluction en action »
Vous pouvez dès maintenant consulter les projets de recherche concernés par la « Vague C », voir leur état et télécharger le document vous permettant de soumettre vos projets.
Critères de sélection pour les projets de recherches concernés par l’Appel à Projets
Les appels à projets sont ouverts aux institutions de recherche : établissements publics de recherche, universités, grandes écoles. Les propositions d’équipes internationales sont également encouragées. Les critères privilégiés pour la sélection des projets soumis :
- L’excellence académique,
- Le caractère novateur et original du projet,
- L’intérêt pour la communauté cible,
- La stratégie de valorisation des résultats,
- La dimension internationale du projet.
Le troisième Appel à Projets
Le programme international de recherche ISD est structuré par « lots », tant dans sa dimension historique que prospective, articulés de manière transverse sur 5 perspectives clés : sociétale et éthique, stratégique, organisationnelle, réglementaire, technologique.
Call for projects – wave C (en)
Ouvert à candidature le 6 février 2012, cet appel à projets concerne :
- Design de l’entreprise de 2020 (lot 6 B)
- Economie de la numéricité (lot 8 )
- Maturité numérique, performance et standards (lot 11)
- La gestion des espaces et de la fonction numériques en 2020 (lot 12)
Ce troisième appel est également ouvert au financement de notes de recherche concernant les lots suivants :
- Réseaux ubiquitaires (lot 4)
- Convergence technologique, usages numériques et matérialité numérique (lot 7)
- Droits de propriété intellectuelle et réglementation (lot 10)
Budget
Le financement total de cet appel à projets s’élève à 450 000€.
L’intégrale des Essentiels de la Vague A
Lancé avec l’objectif de « tracer les contours possibles de l’entreprise de 2020 », le programme international de recherche ISD de la Fondation CIGREF a d’ores et déjà fait l’objet de trois vagues d’appels à projets. La première vague de projets de recherche, chargée de travailler sur les modèles d’affaires, l’organisation, les RH, l’intelligence collective et les pratiques émergentes… a livré ses résultats. Présentés au fur et à mesure, les « Essentiels » des 9 projets de la vague A, sont aujourd’hui rassemblés en une même publication.
Cette publication globale, réalisée dans un format numérique dynamique, rassemble non seulement les 9 « Essentiels » de cette première vague de projets, mais aussi les vidéos de présentation des chercheurs pour chacun des projets, l’ensemble des idées à retenir de cette première vague de résultats sur le « design possible de l’entreprise de 2020 », une synthèse de cette « Vague A » du programme ISD proposée par le Professeur Bounfour.
Au sommaire des Essentiels de la Vague A du programme ISD…
- Le Comité Scientifique de la Fondation CIGREF
- Le mot du Président du CIGREF
- Le design de l’entreprise de 2022, une entreprise accéluée…
- Idées à retenir
- Synthèse de la «Vague A» du programme ISD
- Collection « les Essentiels » (les 9 projets de recherche)
- Les modèles d’affaires, coproduction de valeur et systèmes d’information
- Les modèles d’affaires dans l’espace numérique
- L’impact du web2.0 sur les organisations
- Comment configurer si et organisation pour concilier l’exploration d’idées nouvelles et leur exploitation
- Use.org usage des outils d’intelligence collective
- Pratiques émergentes dans les activités professionnelles grâce aux technologies innovantes
- Les smartphones comme vecteurs d’innovation dans la coordination organisationnelle
- Génération y et pratiques de management des projets SI
- Emergence des modes informatiques et processus d’adoption des tic
- La gouvernance de la Fondation CIGREF
- Les soutiens de la Fondation CIGREF
De l’objectif de la Fondation CIGREF aux Essentiels de la vague A…
Lors de la présentation des premiers résultats de cette vague de projets de recherche, Jean-François Pépin, Délégué général du CIGREF et Secrétaire de la Fondation CIGREF a précisé que si le CIGREF a un rôle « ici et maintenant », la Fondation CIGREF vise quant à elle à « éclairer le chemin vers demain et ailleurs » !
Extrait de l’Accéluction : « Les résultats de la Vague A indiquent des transformations importantes de l’entreprise par les usages des systèmes d’information, avec notamment des tensions et des tendances identifiées, qu’il convient de considérer avec attention, en particulier dans la perspective du design de l’entreprise de 2020…»
Extraits de la synthèse des Essentiels
« L’entreprise numérique de 2020, une entreprise accéluée. Le changement de comportement attendu des entreprises dans ce nouvel espace numérique appelle à une approche renouvelée dans les modèles d’affaires et les pratiques associées. Plusieurs questions essentielles se posent :
- Comment doit-on s’organiser pour la création de valeur dans des espaces numériques ;
- Y-a-t-il des mécanismes de gouvernance spécifiques à prendre en considération ;
- Comment peut-on articuler les ressources «internes» et «externes» dans les espaces numériques ?
- Comment traiter de la question des droits de propriété intellectuelle
- Y-a-t-il des pratiques locales et régionales à prendre en considération?
- Et plus généralement comment pouvons-nous conceptuellement caractériser l’espace émergent de la numéricité ? »
« L’Accéluction est proposée comme un nouveau paradigme de la production. Selon ce concept, un nouveau type d’entreprise se dessine, l’entreprise accéluée, pour laquelle le principal moteur de création de valeur réside dans la production accélérée des liens entre différents espaces pré-identifiés et sans cesse en mouvement, l’espace des entreprises, l’espace des communautés, l’espace de la société dans son ensemble. Ces liens pourraient être transactionnels et donc faisant l’objet d’un contrat de nature économique et plus ou moins spot ; ou organiques – autrement dit des liens au sein desquels les relations de reconnaissance prédominent ; ou hybrides (des liens à la fois transactionnels et à un certain degré organiques)… ».
« Si l’accéluction est le principe directeur émergent de la gouvernance des entreprises, alors il convient d’en déterminer la topographie. C’est autour de la topographie des liens qu’il convient de construire les modèles numériques du futur et le cas échéant, évaluer le niveau de maturité de nos entreprises… ».
Les bouleversements de la pensée algorithmique !
Dans le cadre d’un événement intitulé « Préparés à Internet », organisé par la Société Européenne de l’Internet qui s’est déroulé le 22 septembre, accueilli par l’Ecole Mines-Paris Tech, et dont le CIGREF était partenaire, on s’est interrogé : qu’est-ce que le numérique ?
Il peut certes y avoir bien des réponses à cette question. Lorsqu’elle est posée dans l’amphi d’une Grande Ecole, notamment à l’occasion de la parution du livre « Introduction à la science informatique »*, le champ des possibles se réduit !
Qu’est-ce que le numérique ?
La réponse de Gérard Berry
Professeur au Collège de France, Chaire Informatique et Sciences Numériques
Le numérique est en train de bouleverser complètement les sciences, la médecine et peut-être un jour l’enseignement !… Ce sont des bouleversements absolument fondamentaux. L’informatique est tout simplement une très grande science et une très grande industrie. Ce qui rend l’informatique très différente des autres activités humaines, par exemple la biologie ou la médecine, c’est que c’est un jeu de construction. En biologie et en médecine, on passe des heures, des jours, des années… à faire de l’expérimentation. Par exemple, lorsqu’on invente un médicament, cela prend un temps fou pour le mettre en place, et ce n’est pas garanti. En informatique, ce n’est pas cela du tout : quand on invente un premier moteur de recherche, en deux mois et demi, il tourne ! C’est un jeu de construction. On n’a pas, ou peu, de freins liés à la nature de l’informatique. Les freins sont tous liés à ce qu’il y a dans nos têtes.
Les métiers de l’avenir sont fondés sur ce que l’on n’apprend pas à l’école…
Le traitement numérique a unifié de nombreuses choses autrefois totalement différentes. Un livre, un disque, une photo et la gestion mécanique, étaient des activités complètement différentes, des études différentes, des professions différentes, des savoirs différents. Avec le numérique, tout est transformé en nombres. Il n’y a plus de différence, ce qui veut dire que pour faire le métier d’éditeur de livres, le métier d’éditeur de musique, de photographe ou de pilote d’avion, ce sont les mêmes racines, la même algorithmique… exactement ce que l’on n’apprend pas à l’école en ce moment. Tous les métiers de l’avenir sont fondés sur ce que l’on n’apprend pas à l’école. C’est une réflexion qu’il faut quand même se faire !
Le temps des inversions mentales !
Aujourd’hui, on parle encore de « nouvelles technologies » ce qui est complètement aberrant. Cet enfant de 3 ans ne connaitra jamais le monde sans ces technologies. Les inversions mentales, cela veut dire que la façon dont nos enfants pensent est complètement à l’inverse de la façon dont nous pensons. J’ai enseigné dans une école Montessori dont le dogme est tout simple : « cela ne sert à rien d’enseigner le monde d’aujourd’hui vu qu’il n’existera plus demain » !
Illustrations :
– Le petit-fils d’une amie, âgé de 3 ans, trouve dans un grenier un téléphone jouet, avec des roues, un cadran et un combiné, il regarde l’objet. Il n’a aucune idée de quoi en faire, et brusquement, saisi d’une inspiration, prend une douche… le combiné au-dessus de la tête !
– « Papa, le voisin a un ordinateur incroyable, il tape sur les touches et ça imprime tout de suite… ». Il venait de voir sa première machine à écrire.
– Celle-ci sur la loi Hadopi est importante : « je ne comprends pas pourquoi on dit que passer de la musique c’est du vol. Parce que, quand je passe un MP3 à quelqu’un, je l’ai toujours, il ne me l’a pas volé… ». La diffusion infinie, la copie à l’identique, changent totalement la notion de propriété. Pour un enfant, si on lui pique son jouet, il a perdu son jouet, si on lui pique son MP3, il ne l’a pas perdu. Donc la notion de propriété d’un MP3 s’évanouit.
Il y a beaucoup d’inversions mentales très significatives sur le téléphone qui traduit une modification absolue de la perception de l’espace et du temps, ce qui n’est pas rien ! Avant, le téléphone consistait à tirer un fil de cuivre continu, passant par des centraux, et puis à transmettre du silence. Dans le téléphone numérique, on comprime la voix, on voit même les silences, on transmet numériquement, mais il y a toujours cette notion de fil qui va d’un endroit à un autre. C’est la liaison à l’espace. Maintenant, on a enlevé le fil et là, on a aboli le lien spatial. Les adultes ne s’en sont pas réellement rendu compte, mais le changement est phénoménal. Anecdote d’enfant : un petit garçon sur la plage voit quelqu’un nager avec un masque et un tuba. L’enfant dit : « il a de la chance, il a un portable qui marche dans l’eau » !
Dans le « Socle commun de connaissances et de compétences » (mis en place en 2006 et qui précise tout ce qu’il est indispensable de maîtriser à la fin de la scolarité obligatoire), dans le programme de la classe de 5ème, il y a : « s’orienter sur une carte ». Aujourd’hui, pour les enfants, une carte c’est en 3D. Comment faisait-on en 1999 ? On achète la carte à la bonne échelle. Il faut déjà l’avoir. Ensuite, on la déplie, ça prend de la place. On cherche où l’on est. C’est compliqué. On cherche l’adresse. C’est compliqué. Un enfant ne connait pas cela. Lui, il allume la carte qu’il a dans la poche. Il y a toutes les échelles et le monde dedans, et en relief. Quand j’avais dit cela, en 2006, aux inspecteurs généraux, on m’avait dit « De quoi parles-tu ? » Du GPS… « Mais non, les gens n’ont pas de GPS ». J’ai répondu qu’il suffisait d’attendre 2 ou 3 ans. Aujourd’hui, il est vraiment dur de ne pas avoir de GPS !
D’un ordinateur on ne sort jamais que ce qu’on y a mis…
J’ai beaucoup entendu, y compris dans cette maison où l’informatique n’a jamais été spécialement développée 😉 : « d’un ordinateur, on ne sort jamais que ce qu’on y a mis » ! Dans cette expression, il y a quelque chose que les gens n’avaient pas spécialement noté, c’est que les 2 fois « on », c’était « je ». Autrement dit, d’un ordinateur, je ne sors jamais que ce que j’y ai mis ! Qu’est-ce qui s’est passé depuis ? Les deux « on » se sont séparés. On peut dire aujourd’hui : « d’un ordinateur, je ne sors jamais que ce que le monde y a mis ! ». Cela veut dire que la notion de mémoire a changé. Michel Serres a fait un très bel exposé là-dessus où il explique qu’avec l’écriture on n’a plus besoin de savoir par cœur, avec l’imprimerie on a distingué l’écriture de la lecture. Avec la notion d’internet, on n’a plus besoin d’avoir la mémoire en soi. Cela pose des problèmes de cognition massifs. Toute ce que l’on propose avec un cerveau d’adulte vers nos enfants ne s’applique pas, ils n’ont pas la même cognition.
J’ai souvent été étonné par certains professeurs pour qui le monde informatique est très compliqué. Ils disent que les élèves copient sur Wikipedia. Je réponds « c’est exact ; avant ils copiaient sur votre tableau… ». Ils répondent que sur Wikipedia, ils ne comprennent pas ce qu’ils copient. « Vous êtes sûrs qu’ils comprennent ce que vous avez écrit sur votre tableau ? ».
La pensée algorithmique bouleverse les choses. Le numérique, c’est le monde des enfants. Ils n’ont aucune idée de ce que c’est, pas plus que la plupart des adultes. Mais les inversions mentales posent des problèmes d’enseignement et on constate toujours la non-reconnaissance ou la faible reconnaissance de la discipline informatique.
L’informatique va façonner le 21ème siècle…
Toute l’informatique, toute la culture numérique classique a passé son temps à essayer d’organiser l’information. Maintenant, il faut remarquer que, par exemple, le plus gros investissement intellectuel et technique chez IBM c’est d’étudier l’information désorganisée. Car c’est là que l’on apprendra le plus de choses.
L’informatique change tous les métiers. Par exemple, le métier d’ingénieur : jusqu’au 19ème siècle, on fabrique quelque chose, cela casse. On recommence. La moitié des ponts suspendus construits dans l’histoire sont tombés. Avec la science classique, par exemple la résistance des matériaux, on fabrique, ça casse, on explique pourquoi, on recommence en mieux. Mais ça a cassé quand même !… Maintenant, absolument toute l’ingénierie est faite (ou va être faite) ainsi : on fabrique virtuellement, on simule virtuellement, on casse virtuellement, on recommence. Cela ne casse plus.
L’informatique va façonner le 21ème siècle. C’était déjà clair il y a 20 ans. Cela pose beaucoup de questions. La plus importante est certainement : « comment faire partie des créateurs du futur ? ». En Inde, il se fabrique 500.000 ingénieurs informaticiens par an. En France, nous sommes 7 informaticiens à l’Académie des Sciences… sur 230 !
Programme ISD
Le programme international de recherche ISD
Ce programme international de recherche poursuit un triple objectif :
- Faire le lien entre le passé et le présent, le temps long de l’histoire qui permet de déceler les grandes tendances et les régularités, et le temps court de la vie de l’entreprise.
- Eclairer le futur de la Fonction SI à partir de la base de connaissance ainsi constituée.
- Alerter les dirigeants des grandes entreprises, publiques et privées, sur les enjeux stratégiques liés à la grande mutation du passage d’une économie industrielle à une économie de réseaux fondée sur la connaissance et le management de l’immatériel.
Bilan d’étape du Programme ISD
Retour sur la genèse, l’avancement des travaux conduits dans le cadre du programme de recherche et la production des synthèses des premières études.
Le programme ISD, c’est aujourd’hui :
- 30 projets internationaux, portés par une cinquantaine de laboratoires de recherche aux Etats-Unis, en Europe, en Chine et au Japon
- Des projets basés sur des études de terrain et portant sur des thématiques stratégiques pour la performance de l’entreprise numérique.
Télécharger le bilan d’étape à mai 2014.
- Télécharger l’Agenda de Recherche 2010
- Download the Research Agenda 2010
- Que pensent les acteurs du programme ISD ?
Ce programme international de recherche s’inscrit dans la suite logique des activités du CIGREF :
Depuis 1970 … Les travaux du CIGREF ont donné lieu chaque année à de très nombreux rapports, dont les thématiques résultent des préoccupations successives des DSI. Ces travaux sont le fruit d’une démarche empirique fondée sur le partage d’expérience entre grandes firmes membres.
2004-2007 : Un premier programme de Recherche a permis de mener 3 chantiers, articulés autour des mots clefs de la mission du CIGREF : Usage – Valeur – Innovation.
2007-2010 : Un programme d’orientation triennal, articulé autour de trois domaines stratégiques qui correspondent aux trois grandes préoccupations actuelles des DSI :
- La DSI au service des Métiers et de la Direction Générale
- La performance durable des S.I.
- Le management et l’animation de la Fonction S.I.2010 : année du 40ème anniversaire du CIGREF.
Le CIGREF considère que le devenir des systèmes d’information est en partie enraciné dans leur histoire. En revisitant cette histoire, nous pouvons tirer des enseignements pour l’avenir.
En prenant en compte un futur assez lointain – 2020 – afin de s’éloigner des contingences du moment, le programme ISD pose la question des devenirs de nos organisations et de leurs systèmes d’information, des forces motrices à l’origine de la grande transition qui se dessine.
ISD privilégie la dimension internationale afin de mobiliser la meilleure expertise scientifique disponible en Europe, en Amérique du Nord, en Asie (Japon, Chine, Inde).